Violences et saccages urbains
Pour ce qui concernent les manifestations, rassemblements et défilés contestataires, on constate que ce qui appartient à autrui ( vitrines, véhicules ) mais aussi à la communauté, donc à nous-même, sert de défouloir et donc de ce fait est dégradé, cassé et détruit.
Quels sont les symboles que ces casseurs veulent donner ? Quels seraient les messages, à faire passer, en s'acharnant sur les feux des carrefours, aux panneaux de signalisation, aux grilles autour des arbres, des bancs et d'incendier des poubelles, ce qui est d'intérêt public ?
Psychologues, sociologues diront que ce ne sont que des actes de lâcheté, et de s'en prendre au mobilier urbain, utile, nécessaire, payé par nos impôts, résulte d'esprits limités, appartenant à des individus irréfléchis et méprisables.
Et si nos carrefours, nos rues, nos places étaient pourvus de matériels libérant de vils instincts, tels des punching-balls, des sacs de sable suspendus, des "culbutos" de figurines, des machines mesurant la force de frappe, etc. ? A l'absurdité, à la bêtise, ce n'est pas qu'avec la répression qu'il faut agir, c'est aussi avec le dédain face à la petitesse d'esprit des casseurs. Comme le disait Cl. Chabrol : l'intelligence à des limites, la bêtise n'en a pas !
6 novembre 2019
Des extraits de ce ras-le-bol ont été publiés sur le site internet de La Nouvelle République le 26 novembre 2019.
https://www.lanouvellerepublique.fr/a-la-une/les-incivilites-exasperent-la-fermete-prend-le-pas
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