La grogne des viticulteurs

Les viticulteurs sont en rogne. Allons bon !

Il est vrai que gel, grêle et sécheresse ne donneront pas des quantités, avec cependant une relative compensation, la qualité devrait être de mise.


Et là, l' Etat, le gouvernement et le ministre ne peuvent pas grand chose.


Le désarroi des vignerons se trouve exacerbé du fait que les stocks en chais des coopératives sont en dure concurrence avec les vins du sud de l' Europe ( Espagne et Italie ) dont les coûts de production sont inférieurs à ceux de France.


Avant de déverser les surplus de vin sur les routes et autres ronds-points, voir devant les préfectures, il serait bon que les représentants des syndicats viticoles sollicitent des tables rondes avec les ministères, pour imposer aux autres pays de l' Union Européenne de limiter leur exportations et que soit appliquée une taxe d'entrée sur le territoire. C'est ce que l'on appelle du protectionnisme, et alors !


Nous n' allons pas nous mettre à boire plus de vin, d'une façon quelque peu inhabituelle, et ce afin de satisfaire des revenus décents aux vignerons.


D'autant qu'il nous est constamment rappelé que de boire c'est mauvais. 


20 octobre 2017

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