Retour du djihad

Le retour dans leurs pays d'origine, des femmes et enfants de combattants assassins djihadistes, ne parviennent pas à me tirer une petite larme, voire un sentiment contenu d'empathie.

Il est évident que le sort de ces familles est un vrai casse-tête et pire un réel dilemme pour un esprit humaniste.


En ce qui me concerne je ne veux en aucun cas m' apitoyer sur l' avenir de ces femmes et enfants, ressortissants français ou pas. Certes les enfants ne sont en rien responsables des agissements et engagements inhumains des parents. Il y a bien eu des faits et cas semblables, au lendemain de conflits tout aussi ignobles, qui argumenteraient une jurisprudence dont les instances nationales pourraient tenir compte, et ainsi trouver une solution humaniste acceptable.


Pour ce qui est des adultes, engagés, militants, destructeurs et tueurs, il n' y a aucune clémence à manifester et la détention, pourquoi pas à vie, est évidente. N'ont-ils pas indirectement cautionner les morts sur notre territoire ?


Les compagnes de combattants, qui ont rejoint volontairement les terroristes, ou celles qui ont "embrassé" les idées et luttes, ne doivent en aucun cas faire l'objet d'un quelconque distinguo sur leur responsabilité, même si celle-ci a été sous contrainte.


Que ces individus soient jugés par la justice du pays où ils ont agi. Et si ils étaient extradés, alors tant pis pour les Droits de l' Homme, qu'ils soient punis, et mis hors d'état de nuire , par confinement à perpétuité, leur repentance n'a peu de valeur. 


Leurs agissements et engagements ont ouvertement fait fi des droits humains. 

4 décembre 2017

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