Les ras-le-bol de Papi

Alors que des intellectuels catholiques, des ministres ordonnés ( Mgr X ), des laïcs baptisés, s'interrogent et analysent "pourquoi on ne va plus à la messe", le diocèse de Paris est parvenu à en faire une magistrale démonstration lors de la célébration eucharistique d'obsèques de l'ancien président de la république, M; J. Chirac, et ce en remplissant l'Eglise St Sulpice ( faute de Notre-Dame ). Que faut-il constater : une cérémonie emprunte d'un rituel immuable, passéiste et donc très "has been", un déroulement on ne peut plus traditionnel ( quasi d'avant Vatican II ), une assistance très passive ( qui ne comprend rien ) et qui s'ennuie. Tout ce panel de personnalités " assiste à la messe", comme du bétail regarde un spectacle. Comme le rite canonique le précise, évêque, prêtres, clercs, acolytes, chorale , se sont chargés de tout. Même la quête, récupérer des sous ( des devises étrangères par liasses ont ét

Comment une actualité morbide devient un fantastique cours magistral de conjugaison et de grammaire ? Il y a quelques jours, l'ensemble des médias hertziens et radio, comme les news véhiculées sur les réseaux sociaux, donnaient une info incroyable concernant le disparu Xavier Dupont de Ligonnès ( XDDL ) . Dans un premier temps c'est sous la forme affirmative, conjuguée au passé composé, que l'information est donnée : XDDL a été ... Quelques heures passées, la "nouvelle" prend la forme interrogative avec l'emploi du conditionnel : XDDL aurait été ... Enfin après bien des vicissitudes policières assez rocambolesques, la forme négative est très largement utilisée : ce n'est pas XDDL ! Est ce que les éditeurs de livres scolaires pourraient user d'une telle affaire pour donner corps à une nouvelle et originale façon de l'enseignement de la grammaire et de la conjugaison, en classe de français ? 20 Octobre 2019

S'il est une crainte , qui est à mon sens totalement ignorée, c'est celle représentée par les phénomènes dus aux ondes électro-magnétiques. La peur de ces risques, évidents parce que réalité, est pour l'immense majorité des individus du domaine de l'impossible. Sans parler ni évoquer notre exposition journalière, à domicile, à ces ondes ( téléphone portable ou fixe sans fil, fours micro-ondes, lampes basse tension, réseau Wi-fi, tablettes, etc. ) il est des lieux, comme les hôpitaux, où ces " bombardements" sont tous azimuts et permanents. Pas un patient , où alors des irréductibles ou des proches du trépas, ne possède pas, sur sa table de nuit , un portable; pas un salarié ou membre du personnel soignant ( à tous les niveaux, même au bloc opératoire ) n'en est pas équipé. De plus toutes les données médicales sont transcrites sur ordinateurs en Wi-fi, et ce à tous les étages, tous les services et dans tous les locaux. Et ce qui était inter