Saloperie de bagnole

La soif et le désir non freiné de liberté sont trop souvent plus forts que le banal désir d'émancipation.

Depuis cent ans la voiture aura été l'objet convoité pour assouvir cette indépendance légitime et salutaire.


Toutefois à la lecture des hécatombes du samedi soir ou dimanche matin, cette liberté, associée à un "besoin" de soi-disant vivre, se paye trop souvent très chère. L'accident qui aura fauché 2 jeunes de 19 ans, samedi à Blois, est un triste exemple devenu un fait divers dont nous ne sommes toujours pas habitués, mais dont la société semble résignée. Ah ! saloperie de bagnole.


1 octobre 2018 
Antoine Boudisseau

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