Les ras-le-bol de Papi

Il ressort que la teneur du premier conseil des ministres de la "rentrée" aura été qu' il faille faire des économies.   Bien entendu, certaines mesures à caractère social vont être prises, étant donné que c'est le secteur facilement maîtrisable et que le peuple subira ces décisions sans trop de manifestations d'insatisfactions.   Là où des économies sont possibles et très substantielles, il est évident que l'on n'y touchera pas : ceux qui décident ne vont tout de même pas se tirer une balle dans le pied. Le train de vie de l' Etat, voilà un domaine où mille efforts sont nécessaires. Avec une bonne dose de démagogie, pourquoi ne pas demander au président de la république, les membres de son gouvernement, de tous leurs secrétaires et conseillers de réduire leurs émoluments et gratifications? Pourquoi ne pas solliciter les parlementaires de diminuer de 20 % leurs salaires. L'Etat et tous ces lieux de pouvoir ou de décisions ont-ils

Si j'étais fabricant de climatiseurs, ou bien grossiste voir vendeur et installateur, je serai ravi des conditions climatiques actuelles et encore à venir.   Il est évident que l'ensemble du personnel serait satisfait, du fait que l'emploi serait bien conservé. Les actionnaires se réjouiraient.    Toutefois, si il y avait en moi un once de l'esprit écologiste pour la préservation de la planète, je serai bien dans un embarras.   Tout climatiseur consomme relativement beaucoup d'électricité, que les centrales hydrauliques voire les éoliennes ont du mal à produire en quantité. Le climatiseur produit du frais en évacuant un volume d'air chaud, à une température supérieure de celle de l'extérieur. Dans la voiture c'est le même souci, d'autant que la climatisation augmente la consommation de carburant et le rejet inéluctable de gaz à effet de serre. Ah que voilà sujets ambigus auxquels personne ne veut s'engager à donner une solutio